Le 29 novembre 2012, elle s’est tenue à Madrid, organisée par ICEX, CEOE et la Maison arabe par l’Espagne et par l’Ambassade d’Algérie en Espagne, le Forum économique Espagne-Algérie, Opportunités d’investissement en Algérie.
L’événement, inauguré par le Ministre de l’industrie, M. José Manuel Soria, a réuni les secrétaires d’État au Commerce (Jaime García-Legaz) et aux Affaires étrangères (Gonzalo de Benito Secades), ainsi que le Directeur général de la Chambre arabe, le Président de la Commission des relations internationales du CEOE, et lors de sa présentation le nouveau conseiller économique et commercial de l’ambassade d’Espagne en Algérie. , M. Fernando Lanzas.
La délégation algérienne, dirigée par le Ministre de l’Industrie, M. Chérif Rahmani et l’Ambassadeur d’Algérie en Espagne, M. Mohammed Haneche, avait une grande représentation de 31 postes de direction de différents organismes et entreprises publics :
Les interventions de l’Algérie les ont ouverts au ministre de l’Industrie, qui a fait un examen exhaustif des opportunités d’affaires offertes par le marché algérien, importateur net de toutes sortes de biens et de services. Les intervenants suivants ont axé ces possibilités sur les secteurs suivants :
Les parties prenantes suivantes abondent à ces occasions, sans affecter les inconvénients que la législation actuelle pose aux investisseurs étrangers, en particulier l’insécurité juridique créée par la règle du 49/51, les transactions commerciales et l’inefficacité administrative.
Ces questions ont été réglées par un commentaire du chef de division des plans de développement industriel, qui a déclaré que « la norme 49/51 n’est pas un problème pour les grands groupes industriels ».
Pour sa part, le président du Forum des entrepreneurs a déclaré que « l’Algérie n’a pas besoin de financement financier de l’étranger, ce qu’elle veut, c’est des intrants « savoir-faire », des techniques d’organisation des entreprises et l’accès aux marchés étrangers que les entreprises espagnoles ont… ».
En réponse au discours d’ouverture du ministre algérien de l’Industrie, le ministre de l’Industrie, M. Soria, a résumé la situation dans une phrase évidente: « Les employeurs n’ont pas besoin qu’on leur dise quoi faire, ils connaissent leur travail; il s’agit pour les administrations d’établir des règles du jeu claires et de créer un environnement de sécurité juridique qui permette le développement normal et libre de leurs activités ».