CHAOS DANS LES IMPORTATIONS. Un autre bâton sur les roues de l’économie algérienne.

CAOS EN LAS IMPORTACIONES. Otro palo en las ruedas de la economía argelina.
14 marzo, 2021
CHAOS IN IMPORTS. Another stick on the wheels of the Algerian economy.
14 marzo, 2021
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CHAOS DANS LES IMPORTATIONS. Un autre bâton sur les roues de l’économie algérienne.

La cessation d’activité de 17 ports secs en Algérie provoque un véritable chaos dû à la surcharge des ports maritimes et aux coûts de séjour avec des ruptures contractuelles dues au dépassement des délais de déchargement.

La plupart des ports secs, créés à l’initiative des gouvernements Bouteflika, Ouverts dans le battage médiatique et la soucoupe par ministros et walis, ils sont entrés en crise au cours des 7 dernières années suite à la mise en œuvre de l’ordonnance de la Direction générale des douanes du 20 juillet 2020 qui a procédé à la fermeture de 7 d’entre eux et à la suspension temporaire de11 autres, pour une «période maximale de 2 mois», pour «mettre ces installations privées en conformité avec la réglementation», dont 5 autres ont été averties.

L’instruction prévoyait l’entrée « dans l’ordre»  des 18 ports suspendus ou avertis (les 7 fermetures étaient définitives) dans la période prévue de 2 mois, ou, dans le cas non, l’application d’une fermeture définitive sans préavis. Cependant, près de 8 mois après la mise en œuvre de cette mesure, l’administration algérienne n’a tout simplement pris aucune mesure.

Les administrateurs se plaignent que, après avoir effectué le travail d’adéquation qu’on leur a demandé de faire, «ils n’ont reçu aucune réponse de l’administration, ni la levée de la suspension, ni l’indication de réserves,rien».  En outre, il existe une «situation discriminatoire car, par rapport aux11 installations suspendues, les 7 qui ontété averties continuent de fonctionner, bien que des irrégularités réglementaires aient été constatées».

Cette situation nuit aux entreprises qui ont attribué la holding et à ses travailleurs, mais aussi aux finances publiques et à leurs clients, dont beaucoup sont des entreprises industrielles algériennes qui ont une autre difficulté supplémentaire à fournir leurs matières premières et précurseurs et en général pour tous les importateurs, armateurs, compagnies maritimes et autres opérateurs de la chaîne commerciale internationale. , qui subissent des retards entraînant des pénalités, des séjours surdimensionnés et des manquements aux contrats pour des délais de décharge accrus en raison de la surcharge des ports maritimes de l’État.

Source. El Watan, 14/03/2021 – https://www.elwatan.com/a-la-une/le-prejudice-dune-situation-non-assainie-14-03-2021

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